Nos précédents opéras
© Christophe Esnault
Carmen – 2015
Opéra comique, mais à la fin tragique, Carmen a été composé par Georges Bizet sur un livret d’Henri Meilhac et Ludovic Halévy, d’après la nouvelle éponyme de Prosper Mérimée.
La légende d’une femme. Celle dont tous les hommes tombent amoureux. Sensuelle, provocante, mystérieuse. Amoureuse de l’instant où l’homme tombe amoureux d’elle, elle est inévitable là où elle se trouve. Il y a aussi la chaleur, l’odeur de la sueur, l’odeur du sang sous un soleil de plomb. On ajoutera les cigarières, fumeuses et imbibées de l’odeur du tabac. Les militaires voués aux combats, donc à la mort. S’ajoutent à cela les contrebandiers, la clandestinité, le danger.
Les ingrédients de la tragédie sont là. Ce sera l’amour à mort !
La Flûte enchantée – 2016
La Flûte enchantée, opéra en 2 actes de W. A. Mozart, a été créée le 30 septembre 1791, suite à une commande d’Emanuel Schikaneder qui en a signé le livret. Après Carmen, il fallait un autre chef-d’œuvre pour continuer l’aventure de l’opéra coopératif dans le Val de Loire.
La Flûte enchantée, c’est de la magie, du rêve, des prouesses vocales, des farces, des émotions… C’est la dernière œuvre lyrique de Mozart. Mais c’est surtout un chef-d’œuvre, passionnant pour les passionnés, captivant pour les néophytes.
Aïda – 2017
Aïda, opéra en quatre actes de Giuseppe Verdi, a été créé le 24 décembre 1871 à l’Opéra khédival du Caire.
Aïda est un drame dans lequel nous pouvons trouver de multiples résonances au monde d’aujourd’hui. L’exil, la trahison, la recherche de racines, l’acceptation de l’autre, mais aussi et surtout l’amour et la passion.
My Fair Lady – 2018
Fruit d’une des nombreuses collaborations du compositeur Frederick Loewe et du librettiste Alan Jay Lerner, My Fair Lady est une comédie musicale créée en 1956, d’après la pièce Pygmalion de George Bernard Shaw.
Cette comédie musicale, l’une des plus aimées au monde, traite de l’intemporel sujet de l’émancipation et de la lutte des classes, et met en scène dans le Londres des années 30 une fille de la rue à l’accent cockney et un phonéticien renommé qui prend le pari de la transformer en femme de la haute société…
© Alain Mauron
Faust – 2019
Œuvre de Charles Gounod, Faust est l’un des opéras français le plus connu au monde. Il a été créé en 1859, d’après la pièce éponyme de Johann Wolfgang von Goethe, sur un livret de Jules Barbier et Michel Carré.
Cet opéra met en scène Faust, un vieux docteur qui passe un pacte avec le diable incarné par Méphistophélès : il abandonne son âme en échange d’une nouvelle jeunesse afin de séduire la pieuse Marguerite. Pour sa cinquième édition, La Fabrique Opéra Val de Loire a revisité ce drame romantique dans une mise en scène contemporaine de Gaël Lépingle.
© Alain Mauron
La Traviata – 2021
Œuvre de Giuseppe Verdi, La Traviata fait partie des trois opéras qui l’ont fait connaître dans le monde entier. Créé en 1853 à la célèbre Fenice de Venise, ce drame romantique s’inspire du roman d’Alexandre Dumas fils, La Dame aux camélias.
Elle met en scène Violetta Valéry, une courtisane dont le jeune Alfredo Germont tombe éperdument amoureux. Mais comme souvent à l’opéra, cet amour se heurte aux conventions sociales ainsi qu’au désaccord de Giorgio Germont, père du jeune homme, qui œuvre pour sauvegarder la réputation de son fils.
© Alain Mauron
WEST SIDE STORY – 2022
Ouvertement adapté de Roméo et Juliette, œuvre de tous les records, tout le monde ou presque connaît West Side Story, le film de Robert Wise et Jerome Robbins. Un peu moins peut-être le spectacle créé à Broadway quatre ans plus tôt dont il est tiré…
Cette œuvre a conquis le monde et traversé les années grâce à la musique à la fois savante, rythmée et populaire de Bernstein, à cette histoire universelle qui a fait ses preuves depuis Shakespeare et, bien sûr… à la danse !
© Alain Mauron
TOSCA – 2023
© Alain Mauron
NABUCCO – 2024
Premier opéra patriotique de Verdi, au propos universel, Nabucco est l’œuvre qui va réellement lancer la carrière du jeune compositeur. Opéra de tous les excès (les chœurs et les cuivres se font la part belle), Nabucco est aussi traversé d’arias intimes et bouleversantes, trop souvent éclipsées par le célébrissime « Va, pensiero », presque devenu depuis le deuxième hymne de l’Italie.